Revenons à « Technologie Occidentale ». Dans cette monumentale oeuvre de 1300 pages, A. Sutton démontre la dépendance technologique de l’URSS, dès les années 30, vis à vis de l’Occident et conclue qu’à 2 ou 3 exceptions près toutes les innovations technologiques provenaient des Pays de l’Ouest, si « décriés » par le Régime Bolchevique...
L’Occident a bâti, soutenu, financé la Dictature Rouge dès les origines.
Sans un tel soutien logistique, un régime aussi inique n’aurait pas survécu !!!
On comprend que les Architectes de cette Conspiration n’aient pas du tout apprécié les révélations gênantes d’ Antony Sutton et se soient dépensés sans compter pour tenter d’occulter ses travaux...
Dans la foulée, Antony Sutton publia, comme pour enfoncer le clou, un ouvrage complémentaire intitulé : « National Suicide. Military Aid to the Soviet Union » dans lequel il accusait l’ « Establishment » d’avoir fait tuer des américains au Viêt-nam avec.., la technologie US ! ...
Cet ouvrage sera réactualisé en 1986 sous le titre « The Best Enemy Money can buy », grâce à une montagne de documentation provenant en majorité de sources gouvernementales et de sociétés “commerciales”...
Sutton insistait sur le fait que la technologie militaire soviétique était très dépendante des dons des pays « libres » (dont les E.-U.), du « commerce pacifique » et des programmes d’échanges.
Tout leur fut construit ou vendu depuis le bobinage en cuivre jusqu’ aux camions militaires, en passant par la technologie du guidage des missiles, des ordinateurs, et même de la Navette Spatiale !
Des centaines et des centaines de millions de dollars dépensés sans compter pour maintenir à flot la machinerie soviétique ...
Suite à ces révélations « indélicates », la Fondation Hoover, sur la pression de la « Maison Blanche », retira alors sa « bourse de recherches » à Antony Sutton, qui perdit son poste.
C’est une constante que les « forces de ténèbres » ne supportent pas la moindre révélation sur leurs activités subversives.
Intrigué par la nature de l’attaque dont il avait été la victime, et surtout par les forces puissantes qui avaient dirigé cette agression, Antony Sutton décida de mener une enquête approfondie sur lesdites forces et publia dans les années 70 une trilogie sur le soutien politique et financier que les Banquiers Internationaux de Wall Street avaient accordé à trois « variantes » du Socialisme.
Ainsi parurent « Wall Street and the Bolshevik Revolution », « Wall Street and the Rise of Hitler » et « Wall Street and FDR » (Franklin Delanoe Roosevelt).
Dans « Wall Street and the Bolshevik Revolution », A. Sutton dévoile l’action des dirigeants de la firme bancaire Morgan dans l’acheminement illégal de l’Or Bolchevique vers les Etats-Unis, mais aussi le rôle subversif de la Croix Rouge Américaine en Russie, cooptée par de puissants intérêts de Wall Street.
On y apprend également quels sont les hommes de Wall Street qui intervinrent pour libérer Trotsky de façon à ce que le futur organisateur de l’Armée Rouge fût en mesure de déclencher la « Véritable Révolution », cette sanglante révolution de 1917 qui renversa Kérensky, franc-maçon notoire dont le rôle consista à préparer le terrain aux « bouchers du Kremlin ».
Sutton dévoile les marchés passés entre les grandes firmes et les soviétiques dans le but précis d’accaparer le gigantesque marché russe plus de 15 ans avant que le Gouvernement des Etats-Unis ne reconnaisse le Régime Soviétique...
Pour la première fois, les liens étroits entre quelques banquiers de New-York et de nombreux révolutionnaires étaient prouvés avec des documents inattaquables, par un universitaire de renom.
Soutenant en façade (= publiquement) le mouvement anti-bolchevique, cette immonde « pègre financière » tissait des liens durables dans les coulisses de la politique, avec.., les Bolcheviques.
Poursuivant sur sa lancée, A. Sutton publiait en 1975 « Wall-Street and F.D.R.», exposant les liens entre Roosevelt et la Haute Finance Internationale, le quartier général de la Conjuration Mondiale se situant à Wall Street au n0 120 ...
Roosevelt tissa en effet des liens très étroits avec ces banquiers, de 1927 à 1934.
Ce sont les mêmes banquiers apatrides qui conseillèrent Roosevelt pour le lancement de la politique socialiste de “New Deal” (Nouvelle Donne), contribuant à l’essor du Socialisme officiel aux Etats-Unis.
C’est ce qui ressort des papiers personnels de Roosevelt qui appliqua strictement les consignes données pour l’édification de cette Nouvelle Société Mondiale.