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 Jean-Marie Le Pen "Exctréme droite"FN

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le_simple
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le_simple


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MessageSujet: Jean-Marie Le Pen "Exctréme droite"FN   Jean-Marie Le Pen "Exctréme droite"FN Icon_minitimeLun 16 Oct 2006, 20:57

Carte d'identité


Parti politique : Front national (FN)
Age : 73 ans - Né le 20 juin 1928 à La Trinité-sur-Mer (Morbihan)
Situation de famille : Divorcé et père de trois filles
Métier d’origine : Chef d’entreprise

Parcours politique



  • De 1956 à 1962 : député de la Seine (Groupe d'Union et de fraternité française), siégeant sous l'étiquette du Centre national des indépendants et paysans (CNI),
  • en 1965 : il est directeur de la campagne de Jean-Louis Tixier-Vignancour,
  • en décembre 1972 : fonde le Front national (FN), parti d'extrême droite (ou de « droite nationale »),
  • en avril 1974 : se porte candidat à l'élection présidentielle[2] et obtient 0,74 % des voix,
  • 2 novembre 1976 : attentat à la bombe contre son domicile parisien qui est complètement détruit[3],
  • 1978 : assassinat de François Duprat, membre du bureau politique du Front national,
  • en avril 1981 : n'obtient pas les 500 parrainages nécessaires pour se présenter à l'élection présidentielle,
  • 1983 : conseiller du XXe arrondissement de Paris,
  • en juin 1984 : élu député européen,
  • de mars 1986 à juin 1988 : député de Paris lors des élections législatives (scrutin de liste proportionnel à un tour),
  • en avril 1988 : candidat à l'élection présidentielle, il obtient 14,38 % des voix,
  • en novembre 1990 : se rend en Irak pendant la guerre pour négocier directement avec Saddam Hussein la libération de 55 otages qu'il ramène en France,
  • en mars 1992 : élu conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur,
  • en juin 1994 : réélu député européen,
  • en avril 1995 : candidat à l'élection présidentielle, il obtient 15 % des voix, et arrive en quatrième position au 1er tour, après Lionel Jospin, Jacques Chirac et Édouard Balladur
  • en mars 1998 : réélu conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur,
  • en juin 1999 : réélu député européen,
  • le 21 avril 2002 : à l'élection présidentielle, il obtient 16,86 % des suffrages (sur 16 candidats) et se qualifie ainsi pour le second tour,
  • le 5 mai 2002 : obtient 17,94 % des voix au deuxième tour de l'élection présidentielle contre 82,06 % pour Jacques Chirac,
  • en février 2004 : sa candidature pour l'élection régionale des 21 et 28 mars en Provence-Alpes-Côte d'Azur est rejetée par le préfet de Région, pour cause d'absence de domiciliation ou d'attache fiscale dans la région,
  • en juin 2004 : réélu au Parlement européen.

    A 73 ans, Jean-Marie Le Pen, le leader de l'extrême-droite, entame pour la quatrième fois et sans doute la dernière, une nouvelle campagne présidentielle. Le président du Front national (FN) semble, dans les sondages, profiter actuellement de l'actualité internationale et des débats sur l'insécurité en France ; des thèmes chers à son coeur.

    Tenté au début de sa vie par la carrière des armes, Jean-Marie Le Pen est légionnaire en 1953 en Indochine puis en Algérie en 1957. Élu pour la première fois député de Paris en 1956, il a été démis en avril 2000 de ses deux mandats de conseiller régional de Provence-Alpes-Côtes-d'Azur (1992, réélu en 1998) et de député européen (1984, réélu en 1999) après sa condamnation à un an d'inégibilité pour des violences sur une candidate socialiste aux législatives de 1997.

    Agé de 73 ans, il a conservé intacte sa capacité de tenir l'auditoire en haleine pendant les longs discours qu'il prononce, depuis quelques mois à travers toute la France, en vue de la présidentielle. Le bandeau sur l'œil qu'il a longtemps porté a aujourd'hui disparu. Il a également troqué son allure d'ancien parachutiste des années 50 pour une mise plus soignée. Ces métamorphoses personnelles se confondent ainsi avec celle du Front national (FN), parti d'extrême-droite, qu'il fonde en 1972.

    Déjà candidat à la présidentielle à trois reprises, le président du FN, après avoir obtenu 0,74% des voix en 1974 n'a pas pu se présenter en 1981 face à François Mitterrand faute d'avoir obtenu les parrainages suffisants. Ce n'est qu'à la présidentielle de 1988 qu'il se voit propulsé sur le devant de la scène politique avec 14,38% des suffrages. En 1995, il parvient à rassembler 15% des voix, un score pourtant décevant pour lui, qui devait une fois encore renoncer à être présent, au second tour.
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Jérémy Admin
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MessageSujet: Re: Jean-Marie Le Pen "Exctréme droite"FN   Jean-Marie Le Pen "Exctréme droite"FN Icon_minitimeMer 18 Oct 2006, 19:55

L'un des plus dangeureux candidat loin devant megret ou de villiers, plus "cool" que ce le pen haineux d'une vie dur
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le_simple
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MessageSujet: Re: Jean-Marie Le Pen "Exctréme droite"FN   Jean-Marie Le Pen "Exctréme droite"FN Icon_minitimeMer 18 Oct 2006, 20:51

Cela dit , sur le plan social , il est bien à gauche,
sauf que lui il mets la préférence nationnal en avant,
mais sur le fond , la gauche reprend beaucoup de ses idée , sauf que eux c'est le partage avec tout ceux présent sur le sol français,
et son plan, pour l'éconnomi , c'est assez bien repris par la droite,
Donc quoi que on en dise , il y a d'une façon certaine , une lepenisation des mentalités....
Pour ma part , le danger avec lui c'est la démocratie , mais celle si va deja mal sans lui,
sur le plan immigration , je dirai que c'est l'éxctréme gauche qui est dangereuse
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DocMarvin
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DocMarvin


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MessageSujet: Procès   Jean-Marie Le Pen "Exctréme droite"FN Icon_minitimeLun 06 Nov 2006, 23:53

Condamnations

* Janvier 1960 : condamné pour des menaces de mort proférées à l’encontre d’un commissaire de police.
* 27 avril 1964 : condamné pour coups et blessures volontaires.
* 16 janvier 1969 : condamné à trois mois de prison avec sursis et 20 000 F de dommages et intérêts pour coups et blessures volontaires par le Tribunal de grande instance de Paris.
* 14 janvier 1971 : reconnu coupable par la Cour de cassation d'« apologie de crime de guerre ». La pochette d'un disque édité par la Serp affirmait : « La montée vers le pouvoir d'Adolf Hitler et du Parti national-socialiste fut caractérisée par un puissant mouvement de masse, somme toute populaire et démocratique, puisqu'il triompha à la suite de consultations électorales régulières, circonstance généralement oubliée. »
* 11 mars 1986 : condamné au franc symbolique pour « antisémitisme insidieux » (peine confirmée en appel le 9 juillet). Jean-Marie Le Pen s'en était violemment pris à des journalistes juifs ou d'ascendance juive : « Je dédie votre accueil à Jean-François Kahn, à Jean Daniel, à Yvan Levaï, à Elkabbach, à tous les menteurs de la presse de ce pays. Ces gens-là sont la honte de leur profession. Monsieur Lustiger me pardonnera ce moment de colère, puisque même Jésus le connut lorsqu'il chassa les marchands du temple, ce que nous allons faire pour notre pays. » Et il leur accordait comme circonstance atténuante de n'avoir « appris le français que récemment ».
* 27 mars 1986 : reconnu coupable d'apologie de crimes de guerre dont la déportation pour l'édition d'un disque sur lequel on peut entendre « un hymne du parti nazi » et « Vive Hitler ».
* 16 novembre 1987 : condamné à 3000 F d'amende et 8000 F de dommages et intérêts à verser au Mrap pour « provocation à la haine, la discrimination et la violence raciale » par le Tribunal de Paris à la suite de la distribution d'un tract lors des élections municipales de 1983. Condamné lors du même procès à 5 000 F d'amende pour « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale » pour ses propos lors d'une l'émission du 14 février 1984, selon lesquels « le monde islamo-arabe » constituerait un « danger mortel ». Peines confirmées par la Cour d'appel de Paris (11ème chambre) le 29 mars 1989.
o 8 juin 1993 (pourvoi n°89-83298) : Cassation partielle de l'arrêt de la cour d'appel de Paris du 29 mars 1989 en ses dispositions portant condamnations pénales et civiles du chef du délit de provocation à la discrimination raciale. Pour la cour d'appel, Le Pen

« met l'accent sur le "monde islamo-arabe qui actuellement pénètre dans notre pays" et le "danger mortel" pour les français de se voir ainsi "colonisés" ; que de tels propos sont de nature à créer dans l'esprit des français l'idée qu'ils sont menacés dans leur identité même par la présence sur leur térritoire de musulmans venant du tiers monde, à faire naître envers ce groupe déterminé, à raison de sa religion des réactions de rejet et à provoquer des actes discriminatoires voire de violence »

alors que pour la Cour de cassation,

« les expressions reprochées au demandeur ne désignaient aucune personne ou aucun groupe de personnes autre que des populations étrangères indéterminées, n'étaient de nature à inciter le public ni à la haine, ni à la violence, ni à la discrimination raciale et n'avaient pas dépassé les limites du droit à la libre expression sur le phénomène de l'immigration, la cour d'appel a dénaturé les propos incriminés et fait une fausse application de l'article 24 alinéa 6 de la loi du 29 juillet 1881 »

* 23 mai 1991 : condamné par la Cour d'appel de Lyon pour « utilisation du terme SIDA pour stigmatiser l'immigration qui représenterait un danger aussi grave que la maladie porte une atteinte intolérable à la dignité des malades, qui ont droit au respect et à la solidarité et également une atteinte intolérable à la dignité des populations immigrées ».
* 18 décembre 1991 : condamné par la cour d'appel de Versailles pour « banalisation de crimes contre l'humanité » et « consentement à l'horrible » pour avoir déclaré : « Je me pose un certain nombre de questions. Je ne dis pas que les chambres à gaz n'ont pas existé. Je n'ai pas pu moi-même en voir. Je n'ai pas étudié la question. Mais je crois que c'est un point de détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. [...] Si, c'est un point de détail ! Voulez-vous me dire que c'est une vérité révélée à laquelle tout le monde doit croire, que c'est une obligation morale ? Je dis qu’il y a des historiens qui débattent de ces questions. »
* 27 mai 1992 : condamné pour « diffamation » par le tribunal de grande instance de Paris à 1 F symbolique de dommages et intérêts à Jean-Christophe Cambadélis. Jean-Marie Le Pen avait qualifié le député PS d'« ancien — ou toujours — trotskiste, et ami des organisations terroristes allemandes » (Le Monde, 7 juin 1992).
* 3 juin 1993 : condamné à 10 000 francs (1 524 euros) d'amende par la Cour d'appel de Paris « injure publique » au ministre de la Fonction publique de l'époque, Michel Durafour (« Durafour-crématoire »). Le 7 décembre de la même année, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.
* 8 novembre 1995 : condamné à un redressement de 1,4 million de francs pour « oublis de plus-value boursière et sous-estimation de loyer ».
* 15 novembre 1996 : condamné le tribunal de grande instance de Mont-de-Marsan à 10 000 F de dommages et intérêts pour avoir tenu des propos ayant « gravement porté atteinte » au président du tribunal d'Auch (Le Monde, 17 novembre 1996).
* 6 janvier 1997 : condamné à 6 000 F d'amende et 1 F symbolique de dommages et intérêts par le tribunal de Strasbourg pour avoir qualifié l'association Ras l'front de « mouvement de tueurs de flics ».
* 4 juillet 1997 : condamné par le Tribunal de Paris pour propos racistes.
* 26 décembre 1997 : condamné à 300 000 F de consignation pour diffusion du jugement dans des journaux, à vers entre un franc symbolique et 5 000 F de dommages et intérêts à onze associations plaignantes, et à payer leurs frais de justice par le Tribunal de Nanterre pour « banalisation de crimes contre l'humanité, consentement à l'horrible », pour avoir dit que « dans un livre de mille pages sur la Seconde Guerre mondiale, les camps de concentration occupent deux pages et les chambres à gaz dix à quinze lignes, ce qui s'appelle un détail ». Le 10 septembre 1999, la cour d'appel de Versailles confirme la peine (Le Monde, 15 septembre 1999).
* 2 avril 1998 : condamné à deux ans d'inéligibilité (réduits à un an par la cour d'appel, qui ajoute 8000 F d'amende) et trois mois de prison avec sursis par le Tribunal correctionnel de Versailles pour « violences en réunion » et « injures publiques » (faits requalifiés par la Cour d'appel en « violences sur personne dépositaire de l'autorité publique dans l'exercice de ses fonctions ») pour avoir agressé la maire et candidate socialiste Annette Peulvast-Bergeal (qui portait son écharpe d'élue) lors des législatives de 1997.
* 9 septembre 1998 : condamné au franc symbolique pour avoir présenté une tête en carton à l'effigie de Catherine Trautmann lors d'un meeting du Front national en 1997.
* Novembre 1998 : condamné par le tribunal de grande instance de Nanterre à 10 000 F de dommages et intérêts à l'Union des étudiants juifs de France pour avoir déclaré « Je crois à l'inégalité des races », lors de l'université d'été du FN, le 30 août 1996 (Le Monde, 27 novembre 1998).
* 10 juin 1999 : condamné à 12 000 DM (environ 6 000 €) d'amende par le tribunal d'instance de Munich pour incitation à la haine raciale et apologie de crime de guerre, i.e. « le point de détail » (MRAP, avril 2002)
* 2 avril 2004 : Le tribunal correctionnel de Paris a condamné Jean-Marie Le Pen à 10 000 euros d'amende pour provocation à la haine raciale, en raison de propos tenus l'an précédent dans une interview au quotidien Le Monde (il avait déclaré notamment « Le jour où nous aurons en France, non plus 5 millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont »). Jean-Marie Le Pen devra également verser 5 000 euros de dommages et intérêts à la Ligue des droits de l'homme et la même somme à la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra), qui étaient parties civiles. Décision qui sera confirmée le 11 mai 2006 par la chambre criminelle de la cour de cassation.
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