La loi sur la consommation adoptée, en attendant Sarkozy ;;

La loi sur la consommation adoptée, en attendant Sarkozy sur le pouvoir d'achat

L'Assemblée a adopté dans la nuit de mardi à mercredi le projet de loi Chatel censé faire baisser les prix à la consommation, alors que Nicolas Sarkozy doit annoncer jeudi des mesures en faveur du pouvoir d'achat, priorité numéro un des Français et angle d'attaque des socialistes.


Le député PS Jean Gaubert a d'ailleurs demandé ironiquement si l'Assemblée ne devait pas suspendre ses travaux dans l'attente de l'intervention du chef de l'Etat, en lisant dans l'hémicycle une dépêche d'agence indiquant que M. Sarkozy s'exprimerait jeudi.

Le PS défendra, jeudi également, sa proposition de loi contre la vie chère, qui comprend onze mesures, du doublement de la prime pour l'emploi à l'encadrement des tarifs du gaz et de l'électricité, en passant par le rétablissement de la TIPP flottante.

Le PS proposera d'aller plus loin que la loi Chatel, avec l'abrogation des marges arrière (remises des fournisseurs aux grandes surfaces pour la promotion de leurs produits dans les rayons) et l'instauration de "class actions" (recours de consommateurs devant la justice).

Lundi soir, l'Assemblée a voté seulement la réintégration des marges arrière dans le calcul des seuils de revente à perte, pour tenter de faire baisser les prix dans la grande distribution. Le 22 novembre, elle avait écarté des amendements socialistes sur les "class actions".

Mardi, la dizaine de députés spécialistes du sujet a continué de plancher sur les relations grandes surfaces/distributeurs, au risque de minimiser l'impact de la loi auprès du grand public.

"A quoi sert un texte sinon à rendre service à Michel-Edouard Leclerc, qui est devenu le porte-parole de l'Elysée depuis quelques temps sur ces questions de consommation ?", s'est insurgé M. Gaubert, très remonté après le rejet de l'un de ses amendements de défense des petits fournisseurs.

Dans la même veine, André Chassaigne (PCF) a dénoncé un "racket" des grandes surfaces à l'égard des PME ou des agriculteurs.

C'est seulement dans la soirée que les élus devaient passer aux mesures grand public: accès à internet, téléphonie mobile, services bancaires.

Le projet de loi propose de réduire les durées d'engagement à la souscription d'abonnements téléphoniques, en invitant les opérateurs (SFR, Bouygues, Orange...) à proposer douze mois et pas seulement 24 comme c'est souvent le cas.

Une autre disposition consiste à plafonner les pénalités que les opérateurs demandent au consommateur en cas de résiliation anticipée.

Les députés ont également adopté la gratuité des appels aux services d'assistance technique des opérateurs et aux numéros verts, passés depuis des portables.

Enfin, un article propose la création d'un relevé périodique des frais bancaires.

Des mesures sectorielles qualifiées de "cosmétiques" par l'opposition, qui a voté contre, à l'heure où les deux tiers des Français estiment que leur pouvoir d'achat a baissé, en raison de la hausse des carburants et du logement.
Le texte déclaré en urgence doit maintenant être examiné par le Sénat.

Ces gauchistes sont tapés ! Vont-ils améliorer le pouvoir d'achat des français de la sorte ? Evidemment non !

La France est déjà exangue, suite à sa taxation excessive qui a fait fuir les riches et leurs entreprises. En donnant plus, on ne fera qu'alourdir encore cette taxation !

Pour améliorer la situation, il faut évidemment diminuer l'impot, ce qui ne se fera qu'en remettant les gens au travail, et en expulsant ceux qui ont fait élection de domicile danns le pays uniquement pour en tirer un maximum d'avantages sociaux.


A plus long terme, il faut aussi pendre les instits à des réverbères (je plaisante !) et revenir à plus d'exigences. Une enquête portant sur 38 pays vient d'être publiée, sur les acquis en compréhension de lecture des élèves de primaies : la Fance se classe dans les derniers, juste avant la Slovénie et la Pologne : bravo !

Ce n'est ni avec ces pépinières d'analphabètes, ni en ne foutant rien, que les français amélioreront leur pouvoir d'achat !

je ne suis pas tres d'accord avec toi quand tu parle des analphabètes , et les gens qui ne foutent rien.
Parmis se qui ne foutent rien , c'est touts simplement
"que se lever le matin pour aller au travail"
et toucher une misére , et surtout avec des fins de mois sous la centure , alors oui ,
il et evident que l'on a pas envie d'aller au taf.
Le travail ne valorise pas , mais je trouve qu'il dévalorise les gens , enfin tand que le smic n'aurra pas augmenter considérablement.
Suffit d'aller au restos du coeur pour voir qu'il y a de plus en plus de smicards qu'il n'y arrive plus.
Faud pas l'oublier sa non plus!

Personnelement je suis socialement et econnomiquement de gauche et sociétalement de droite

le_simple a écrit:

je ne suis pas tres d'accord avec toi quand tu parle des analphabètes , et les gens qui ne foutent rien.
Parmis se qui ne foutent rien , c'est touts simplement
"que se lever le matin pour aller au travail"
et toucher une misére , et surtout avec des fins de mois sous la centure , alors oui ,
il et evident que l'on a pas envie d'aller au taf.
Le travail ne valorise pas , mais je trouve qu'il dévalorise les gens , enfin tand que le smic n'aurra pas augmenter considérablement.
Suffit d'aller au restos du coeur pour voir qu'il y a de plus en plus de smicards qu'il n'y arrive plus.
Faud pas l'oublier sa non plus!

Personnelement je suis socialement et econnomiquement de gauche et sociétalement de droite

Je ne pense pas que les français touchent "une misère" (alors qu'ils sont parmis ls mieux payés du monde), ni non plus que le salaire soit la clé de l'intérêt pour le travail. A diverses reprises dans ma carrière variée, j'ai travaillé sous mes qualifications et sous mon échelle normale de salaire, mais avec le plus vif plaisir.

Simplement parce que j'aurais préféré crever que de m'inscire au chômage, ou pire encore de demander une aide quelconque. Et comme je bossais beaucoup et joyeusement, mes patrons m'ont permis d'aménager mon temps de travail pour passer le concours d'entrée à un poste supérieur de la fonction publique, et de m'y classer première (je n'avais pas le temps d'attendre).

Avec deux enfants à charge, et sans autre rentrée que ce revenu d'un travzail bas de gamme, j'ai bouffé de la vache enragée, mais j'en garde un excellent souvenir

Tout ce que j'ai fait, à toutes les étapes de mavie, m'ont amusée : j'en conclus donc qu'il n'y aé pas de moche boulot mais des gens moches, qui trouveront toujours des occasions de se plaindre ...